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Ecrire le patois, une langue comme les autres
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  • Cherche contact avec les patois du sud de la Saône et Loire, du nord-ouest du Rhône et du nord-est de la Loire: Charolais, Brionnais, Haut Maconnais, Haut Beaujolais, Nord-Est Roannais...le pays du tse.... Michel Lapalus Contact : mlapalus@sfr.fr
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30 décembre 2011

Dictionnaire du Charolais-Brionnais

Les mots du Charolais par un Charolais: origine, histoire,évolution du sens des mots, comparaion avec les régions avoisinantes. Un ch'tit cadiau p'le dzo d'l'An? Un p'tion de patouès, y pou pouan fâre de mau!                                                                                                                                                                                                              

dictionnaire ch-br

dictionnaire ch-br-1

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Commentaires
D
bonjour<br /> <br /> malgré l'appel de M. BRESSAN je ne participe pas à la collecte concernant le prix cigale (d'or ??) décerné à M. Costes, président du félibrige de paris, et des amis de la langue d'oc, par le félibrige d'Aix en provence:<br /> <br /> <br /> <br /> 1 M. ALESSIO, adhérent récent au félibrige de paris (mon adhésion étant bien antèrieure à la sienne, vers 2000), salarié à la DGLF (direction de langue française et des langues de france) a rétrogradé le dossier accepté du saintongeais langue de France de 2007, en 2010 en sous-langue du poitevin-saintongeais, supra-langue succédant à un poitevin défini précédemment(avant 2000),<br /> <br /> en toute ILLEGALITE, <br /> <br /> selon une application stricte (sinon sectaire) de l'idéologie des supra langues.<br /> <br /> Evidemment j'avais démarché les saintongeais en 2006 <br /> <br /> après les angevins (sur le modèle des champenois devenus langue de france vers 2000 avec la revue Lou Champaignat et un champenois typique, M. Richard, éditeur de livres, CD)<br /> <br /> devenus eux langue de France en 2005 avec un dossier de 10 pages (et la revue et éditeur ANJOU des Amis des parlers d'Anjou: un éditeur de livres ,CD),<br /> <br /> et malgré un dossier de 50 pages des saintongeais (et de la revue Xaintonge en français régional pour se vendre à plus de 3000 exemplaires à chaque parution, chiffre qui ne serait pas atteint si la revue était écrite en saintongeais littéraire, mais éditrice du dictionnaire ou lexique linguistique saintongeais en 8 volumes)<br /> <br /> et accepté en 2007,<br /> <br /> voici le travail ulrérieur et ILLEGAL de la DGLF (direction des langues de france)<br /> <br /> en 2010: la RETROGRADATION du saintongeais de langue en sous-langue.<br /> <br /> Ainsi on me questionne par mail pendant des années sur ce qu'est le provençal,<br /> <br /> par des personnes qui ne sont pas au courant des divisions entre occitans (ceux de l'institut occitan post 1945 :IEO, ses fédérations régionales et départementales, de graphie classique post-troubadour; le félibrige créé dès le 19 eme siècle par Frédéric Mistral et fédéraliste dirigé par les provençaux de graphie mistralienne phonétique et francisée, situé à Aix-en-Provence; l'union provençale sise à Gréoux-les-Bains de M. Ferraud antioccitaniste modérée, et fédérée aux provençaux italiens à la fois de Oulx près de Suse et de Cuneo sinon Combescuro de Turin, on parle de consulte; le collectif provence de M. Richard, très antioccitaniste et fédéré aux niçois, et sis à Grans; les occitans provençaux en graphie occitane adaptée au provençal de M. Barthélémy-Vigouroux; les occitanistes politisés à gauche de mesclun à Marseille; le cercle Terre d'Auvergne qui prône en Auvergne la graphie Bonnaud non occitane; les limousins post-troubadours, et les périgourdins; les béarnais, de biarn toustem menant l'identité gasconne;les subtilités du brigasque, du royasque à la frontière italienne, sinon du monégasque hors de Monaco, ou du mentonais;<br /> <br /> quant aux subtilités de vocabulaires et de grammaires entre marseillais de la Calenco et provençaux littéraires, ou de ces derniers avec les gavots préalpins de Digne, ou des alpins de gap, des drômois, des ardéchoix du sud, des cévennols, des gévaudanais de Lou Païs leur revue, des provençaux gardois de la Clau et autres, et l'évolution du nissart, langue alpine jusqu'au niçois actuel francisé et provençalisé depuis 1789, les différences entre toulonnais de la targo et varois de l'Avep, ..., les différences d'accents et de vocabulaires ou de conjugaisons entre cantons provençaux, qui sont visibles par les spécialistes qui les repèrent facilement à l'oreille et à première lecture,..<br /> <br /> quant aux subtilités en aurillacois et fourentins dans le cantal sinon le barrezien et le carladais autant suivre la veillée d'Auvergne pour tout comprendre ees différences linguistiques fortes entre arrondissements tournés vers toulouse ou clermont, et les variantes nombreuses de l'auvergnat ,sinon entre limousin et du marchois)<br /> <br /> et QUI N'Y COMPRENNENT RIEN à tout ceci bien naturellement et évidemment,<br /> <br /> n'ayant que des différences fortes qu'avec les gavaches de Blaye en Gironde et les libournais gascons, et peu de variantes internes, <br /> <br /> et on s'adresse alors à mon mail plus qu'à celui de M. Alessio fonctionnaire;<br /> <br /> et je serais dans la même situation si un saintongeais du groupe Xaintonge me causait du tort pendant des vacances en Charente.<br /> <br /> ON NE PEUT DONC BIEN TRAVAILLER avec certains des adhérents du félibrige de paris.<br /> <br /> <br /> <br /> 2 de grand-mère berrichonne, je ne vois pas le BERRICHON devenir langue de france avant LONGTEMPS, sinon après la retraite du dit Alessio, <br /> <br /> malgré ses multiples associations et publications en revues et en livres, <br /> <br /> et aucun travail d'Alessio sur ce sujet ni de la DGLF,<br /> <br /> comme sur les différences entre angevin et mayennais-sarthois, ces derniers de le revue mancelle,<br /> <br /> le tourangeau qui commence à se voir sur le net,<br /> <br /> le gâtinais qui présente une revue avec du texte et du vocabulaire à Triguères, et des éditeurs de l'orléanais à Meung, <br /> <br /> le beauceron du Québec sud et du nord du maine amériacain avec celui du chartrain français, <br /> <br /> le charolais qui travaille sur un dictionnaire.<br /> <br /> Somme toute, c'est à moi de contacter 50 associations berrichonnes pour que le berrichon rentre dans les critères de la DGLF (une revue périodique avec un peu de berrichon),<br /> <br /> une association du bourbonnais (l'émulation) dans le même but,<br /> <br /> ou prier les gâtinais de répéter le dosseir saintongeais pour leur langue,<br /> <br /> quitte de voir ce travail réduit à zéro par la DGLF,<br /> <br /> sinon de la demander à des parisiens de Montmartre, <br /> <br /> ou des franciliens de St Rémy les Chevreuse, centre actif, <br /> <br /> pour servir, comme asservi, une DGLF QUI NE TRAVAILLE PAS, et <br /> <br /> souhaite que les autres travaillent à leur place pour le jetter ensuite à la poubelle.<br /> <br /> De plus le dénommé Alessio se targue d'origines italiennes: comme d'habitude, c'est toujours le dernier arrivé en france<br /> <br /> par ses origines (étant de famille champenoise qui fournit des maires dans des villages de la région), celui qui adhère après un autre à une association qui impose ses vues en désaccord avec le principe d'égalité stricte et constitutionnel des adhérents, et faisait mine un temps d'être un agent dormant de l'union provençale à la DGLF (?).<br /> <br /> Les penseurs des supra-langues se paient leur cigale:<br /> <br /> je donne 20 euros par au félibrige de paris, en cotisation, paie le plus ouvent 20 euros par an au repas de soutien des méridionaux de sceaux, donne 30 euros en moyenne par an aux exposants de la foire aux produits méridionaux de Sceaux de juin, soit un billet de 500 francs par an, lors de la félibrée de sceaux, et assiste à la félibrée de juin annuelle, et au maximum de réunions et colloques possibles;<br /> <br /> je donne chaque année assez pour subir des réactions qui ne me conviennent pas en matière de supra-langue.<br /> <br /> MD
D
bine<br /> <br /> mais la DGLF direction des langues de france exige pour qu'un patois devienne langue de france une revue périodique au moins annuelle qui publie au moins un texte patoisant par an <br /> <br /> donc le charolais n'est aps prêt d'avoir sa personnalité reconnue au plan national<br /> <br /> il ne reste qu'à publier sur papier et sur le net des livres , des méthodes , des grammaires , ...
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